Les juristes severienne parlent d'une lex municipalis, comme s'il s'agissait d'une loi générale. Il semble être des lois de cités précises, et non d'une loi générale' (Hartmut Galsterer)

AutorMaria das Graças Pinto de Britto
Páginas223-227
CAPÍTULO III
“LES JURISTES SEVERIENNE PARLENT D’UNE LEX
MUNICIPALIS, COMME S’IL S’AGISSAIT D’UNE LOI
GÉNÉRALE. IL SEMBLE ÊTRE DES LOIS DE CITÉS
PRÉCISES, ET NON D’UNE LOI GÉNÉRALE”
(Hartmut Galsterer)
En lo que se refiere a las leyes municipales citadas en los comen-
tarios de los juristas del Digesto, la opinión de Galsterer sigue los cri-
terios adoptados para diferenciar las leyes generales de las leyes parti-
culares de cada ciudad: “Il y a avait donc des lois de validité générale,
ne réglant cependant que des problémes spéciaux; et il y avait des lois
de portée locale, qui ordonnaient toute la vie politique des cites conc-
cernées. Ces lois portaient em partie des noms, qui indiquaient la ma-
tière traitée d’une manière assez globale”466. Desde esta perspectiva,
la existencia de una lex municipalis es improbable, sea en la epigrafía,
en la historiografía o en los comentarios de los jurisconsultos del Di-
gesto: Ici comme d’autres citations il semble être question des lois
municipales de cites précises, dont le nom a été supprimé lors de la
composition du Digeste”467. En este sentido, Galsterer está las referen-
cias de Ulpiano, D. 50.9.3; Frag. Vatic. 237; Gordiano 7.9.1: “comme
dans beaucoup de textes comparables, on peut se demander si cette lex
municipalis est une loi municipale de portée générale ou la loi d’une
cite spécifique, par ex. D. 50.3.1 pr. e CTh. 12.1.5)”468.
466 GALSTERER, H. La loi municipale des Romains …, cit., p. 203.
467 GALSTERER, H., ibid., p. 202.
468 GALSTERER, H., ibid., p. 202 n. 79.

Para continuar leyendo

Solicita tu prueba

VLEX utiliza cookies de inicio de sesión para aportarte una mejor experiencia de navegación. Si haces click en 'Aceptar' o continúas navegando por esta web consideramos que aceptas nuestra política de cookies. ACEPTAR